Graceland de Paul Simon dans Rolling Stone
Le prochain numéro de Rolling Stone, inclura un article consacrant Graceland de Paul Simon l’une des meilleures choses qui soit arrivée au rock. Le magazine revient sur le documentaire “Under African Skies” , sur la sortie de la réédition de Graceland ainsi que sur les dates européenes aux côtés de Ladysmith Black Mambazo. Vous pouvez lire un extrait de cet article :
When Paul Simon traveled to Johannesburg in 1985 to record with local musicians, he had no idea a landmark record would come of it. “It wasn’t like we knew we were making a transformative piece of music,” Simon says. “We were just making an album.” That album, Graceland, turned out to be a milestone: a melding of South African rhythms and Simon’s melodies and lyrics that went on to win the Grammy for Album of the Year, sell 14 million copies, introduce styles like township jive to audiences outside Africa and reinvigorate Simon’s career. “It was the first real breakthrough in world music and collaborations between musicians from different cultures,” Simon says. “That’s now a ubiquitous fact of life in music. All kinds of musicians play with all kinds of other musicians, and nobody thinks anything of it. Graceland didn’t invent that idea, but it opened the door to it.”
Quand Paul Simon partit pour Johannesburg en 1985 pour enregistrer avec des musiciens locaux, il ne s’attendait pas à ce que Graceland devienne un albums si important. “Ce n’est pas comme si nous savions que nous étions entrain de créer quelque chose de nouveau” explique Paul Simon. “Nous ne faisions qu’enregistrer un album.” Cet album, intitulé Graceland, se révéla être une étape importante : un mélange de rythmes sud africains et de mélodies et parôles de Paul Simon qui allèrent jusqu’à remporter un Grammy pour le titre d’ “Album de l’année”, vendre 14 millions d’exemplaires, introduire les sonorités sud africaines partout dans le monde et relancer la carrière de Simon. “C’était la première fois qu’on découvrait la world music et la collaboration entre des musiciens de cultures différentes.” explique Paul Simon. “Tout cela est très présent aujourd’hui dans la musique. Des musiciens de tous genres jouent avec d’autres musiciens et personne n’y trouve rien à redire. Graceland n’a pas inventé cela mais l’a favorisé”.